• Suite (2)... 24 HEURES CHRONO S8

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    Suite (2)... 24 HEURES CHRONO S8

     

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     Sur le tournage - SceneMaker: 


     

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    (épisode 22)

     

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    Premières impressions : 

    24, c’est une même ambiance que l’on retrouve chaque saison. Même après 8 saisons, j’en redemande (n’en déplaise à certains). On connait maintenant tous les rouages de la série, mais c’est toujours la même excitation. On est d’ores et déjà prêt à être surpris, secoué dans tous les sens comme dans un manège à sensation que l’on a déjà pris plusieurs fois, mais qui nous procure le même plaisir. Dès le 1er épisode, tous les ingrédients qui ont fait le succès de la série sont présents (complot, fusillades, traitres, morts violentes…) 

    « Qu’est-ce que 24 heures chrono aujourd’hui ? Une mauvaise habitude ? Un plaisir coupable ? Une série révolutionnaire ? A chaque début du mois de janvier, c’est le même rituel.
    Quatre épisodes sur deux jours en intraveineuse (sur la FOX, aux USA), et nous voilà redevenus accros.  C’est la principale force de la série, réussir à remettre les pendules à l’heure à chaque saison. Que l’on ait été satisfait, déçu ou biaisé par la précédente, la nouvelle s’en fout, et ne prend souvent même pas la peine de résoudre les enjeux ou cliffhangers laissés en suspens. Que Jack soit mort, drogué, otage ou barbu, he’s always back… » ecranlarge 

    Cette fois, on est à New York, après avoir innové lors du Day 7 en nous amenant à Washington après 6 saisons passées à LA.  

    Grande nouveauté, Jack est grand-père d’une petite terri…Que dire : 

    Terri : « you don’t like a grand-pa » (tu ne ressemble pas à un grand-père)  

    Jack : « I couldn’t agree with you more » (je ne peux pas être plus en accord avec cela). 

    Jack Bauer à la retraite ! On connait bien 24, cela ne va pas durer longtemps et on le comprend dès les 1res images de la saison. Un assassinat se prépare contre le président du Kamistan (pays fictif) qui est venu à New York (ONU) pour une conférence sur la paix.  

    C’est quand même d’un œil attendri que l’on regardera ces quelques scènes d’un rare bonheur que l’on voie rarement dans 24. Et Jack qui est tout sourire !!! 

    Malgré toujours quelques incohérences (comment amener tous les personnages à New York), on est de nouveau pris dans l’action comme dans une mêlée lors d’un match de rugby.  

    Une nouvelle CTU flambant neuve avec un design plutôt froid, mais ultra moderne (pourquoi à New-York, et que fait Chloé là), mais on s’en fout, c’est 24…

    Chloé, quel plaisir de retrouver ce personnage devenu culte dans la série avec ses mimiques tragi-comiques et ces répliques uniques. Mais là, surprise, elle rencontre quelques difficultés avec la technologie dernier cri de la série. Heureusement, son instinct et toujours là et bornée comme toujours, elle campe sur ses positions face à un directeur de la CTU pour le moins incompétent. Et on retrouve notre binôme préféré, Chloé à la cellule aidant Jack sur le terrain. 

    De nouveaux et nombreux visages sont introduits, heureusement que quelques têtes connues sont là pour nous permettre de nous y retrouver !  

    Parmi les «nouveaux» Anil Kapoor (Slumdog Millionnaire) est excellent dès le 1er épisode dans le rôle du président Hassan. 

    La question est comment retenir Jack dans cette nouvelle journée de 24 heures. Grâce à Renée Walker qui nous revient, mais de manière bien sombre dans cette nouvelle saison. Après une dépression et une tentative de suicide, elle reprend du service pour aider la cellule à récupérer de l’uranium en possession de la mafia russe qu’elle avait infiltré il y a 6 ans. Mais Jack ne peut la laisser faire seule, il l’a croit trop fragile et propose de l’accompagner. Le Day 8 commence…  

    La saison 8 nous promet donc une histoire intéressante et encore du suspens à en revendre. Les premiers épisodes, même s’il faut attendre le 5e pour que l’action démarre véritablement nous plonge déjà dans du « 24 » comme on aime. La nuit est déjà tombée au début de l’histoire (la saison a commencé à 16h) ajoutant une touche particulière au suspens comme sait le faire la série. On se rappelle la saison 1 qui elle aussi a commencé de nuit… 

    Ce qui est extraordinaire sur 24, c’est qu’en seulement 5 épisodes, l’action s’est retournée…Le complot contre Hassan déjoué et le tueur abattu par jack Bauer. On repart vers une nouvelle piste, la mafia russe qui détient de l’uranium.  

    Sur cette série on avance à vive allure pour notre plus grand plaisir ! 

    Les premières impressions à mi-saison :

    On est toujours dans du « 24″ comme on aime et on attend les rebondissements que nous promet la série avec toujours autant d’impatiente et de délectation. Pourtant dans cette 8e saison… »j’ose »…l’histoire est loin d’être passionnante, même si on se laisse toujours porté par les multiples péripéties de notre héros favori Jack Bauer et par le savoir-faire des scénaristes de la série.

    Jack, toujours indestructible, nous ravit une nouvelle fois et tant mieux car c’est ce que l’on aime…Sans oublier la toujours superbe performance d’acteur de Kiefer Sutherland.

    Les intrigues secondaires, surtout celle de Dana et Cole ne sont pas en interaction avec l’intrigue principale et du coup en deviennent ennuyeuses et un tantinet ridicule… Ce n’est pas sans rappeler le couac des invraisemblables aventures que rencontraient Kim lors de la saison 2 et surtout « l’histoire » du couguar !

    Une nouveauté se profile : Jack retombe amoureux….De qui ? De Renée bien-sûr et on l’attendais….

    Le final :

    Après huit « journées » particulièrement éprouvantes, la carrière de l’agent Jack Bauer a pris fin comme prévu sans happy-end, mais en laissant la porte ouverte à de nombreuses possibilités dans le film qui prendra le relais de la série.

    Le final de la série et de la saison 8 est émouvant mais pas trop. La fin est à l’image de la série : haletante jusque dans les dernières minutes ( avec une jolie note d’émotion). Même les scènes “politiques” finales, parfois ennuyeuses dans 24, ont été géniales.

    Mais tout de même, on a plus affaire à une fin de saison qu’à une fin de série. La seule différence est la fin du chrono à l’envers. Du grand 24 pour autant !

    On est loin d’un ’’happy-end’’ et les portes ouvertes vers un film passionnant s’entrouvrent discrètement, mais sûrement.

    La saison 8 aura été de très belle facture mais pour être honnête, le début de cette huitième saison s’engluait un peu et peinait à démarrer.

    Et puis d’un coup, sans prévenir, les scénaristes nous surprenaient en tuant au terme d’une course contre-la-montre insupportable un pivot de l’histoire (le président Hassan). Ça y est, 24 était relancée. Le président Logan refait surface et tous les personnages plongent un par un dans le gouffre. Les mauvaises décisions s’enchaînent et on assiste à l’assassinat de Renée Walker, dont Jack est épris. C’est la goutte d’eau, Jack devient une bête aux abois.

    « Puis la confrontation dont tout le monde parlait: Jack contre Chloé mais en fait c’est plutôt avec car Jack oblige Chloé à lui tirer dessus pour qu’elle puisse sauver l’enregistrement, la scène est d’une rare intensité: Jack hurle, Chloé pleure, et finalement Jack se pose le pistolet sur la tempe, là j’ai poussé un cri…Chloé tire et Jack s’effondre » Catherine

    Jusqu’à la dernière minute, Jack manque de se faire abattre. Mais au dernier moment, le gouvernement qui a  abusé des pires actions pour la meilleure des causes (excellente Cherry Jones dans le rôle de la présidente) retourne sa veste dans le bon sens et décide d’assumer ses actes.

    Et Jack vit. Mais il s’échappe, fugitif obligé de fuir. Une fin ouverte pas désespérée mais pas loin.


    Un super jeu de mot. Jack Bauer, Jacked = mot inventé mais voulant dire “pris en otage", ou “volé”

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    24 finit donc sur un gros plan : un adieu à Jack médiatisé sur écran large. Le gros plan en question est d’anthologie, déjà un classique de la télé. Filmé par un drone le visage de Jack Bauer est retransmis sur un écran géant, avant de se soustraire à la vue de Chloé, sa plus fidèle alliée, sa complice de toujours.

    Au spectateur de verser, comme Chloé, ses larmes. Sans dire adieu au personnage…

    « Voilà 24 pour moi, ça fonctionne avec mon cœur même quand ça fonctionne pas avec ma tête, je pense que tous les fans comprendront !! » (Catherine).

    La fin de la saison 8 clos la série…

    Les deux épisodes finals (23 et 24) ont été diffusés aux USA le lundi 24 mai, autant dire que désormais le paysage des séries devient tout à coup morne…

    L’article de ifmagazine commence en disant que personne n’aurait pensé que le concept de temps réel pourrait tenir.

    “La 8° saison a eu un début chaotique mais une des meilleures seconde moitié de la série”

    Jack: “un héros tragique, peut-être un des plus tragique de l’histoire de la TV et le plus anti-héros des héros d’actions. Il a une morale et des règles,  mais rien ne l’arrête quand il pense que ce qu’il fait est juste, ou quand il venge un être aimé…..malgré le nombre de personnages de ces 8  dernières années, c’est toujours Jack qui a ancré fermement la série…

    si vous avez été un fan occasionnel, ou un fan fidèle de longue date, ou si vous voulez juste savoir pourquoi toute cette effervescence, ça vaut  le coup de regarder comment 24 se termine, et de se rappeler pourquoi c’est une des meilleures et des plus novatrices séries de tout les temps.

    La TV ne sera jamais plus la même et malheureusement ne sera  jamais capable de remplacer la magie du féroce dur à cuire qu’a été Jack Bauer pendant 8 grandioses saisons “

    www.ifmagazine.com

    La saison 8 commence donc mal, mais prend tellement d’ampleur dans sa deuxième partie qu’elle conclue en beauté les aventures de Jack Bauer. Ces douze derniers épisodes concentrent en eux seul ce qui fait le sel du personnage et le rend si attachant et dangereux en même temps.

     

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    Scènes vu des coulisses :

    (vostfr)





    La CTU Kiefer Sutherland on Extra - January 05, 2010 :

     

    Dans les coulisses avec Annie Wersching

     Annie Wersching (facebook) 

    Sur le tournage : 

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    Sur le plateau de 24, Kiefer teste la caméra de Guy Skinner

      
     

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    le Winter Press Tour 11 janvier 2010

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    Comic Con (San Diego). 24 juillet 2009

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