24: Redemption est un téléfilm de 90 minutes qui fait le lien entre la sixième et la septième saison de 24 heures chrono. Les événements sont rapportés en temps réel sur deux heures : de 15:00 à 17:00, heure locale.

Il a été diffusé le 23 novembre 2008 sur la chaîne de télévision américaine FOX et le 3 septembre 2009 sur Canal+, sous le titre 24 heures chrono : Exil (néanmoins distribué en DVD sous le nom 24 heures chrono : Redemption).

Suite à la grève de la Writers Guild of America (2007-2008) qui a reporté la diffusion de la saison sept d'une année entière car devant être diffusée d'une traite plus que toute autre série à cause de son principe, la Fox a décidé de produire un téléfilm qui amène les évènements de la saison 7.

Casting :

A Washington DC :

Cherry Jones (VF : Anne Jolivet) : Allison Taylor, la présidente
Colm Feore (VF : Jean-Luc Kayser) : Henry Taylor, le premier Homme
Jon Voight (VF : Bernard Tiphaine) : Jonas Hodges, membre d'une organisation semblable à Blackwater Worldwide
Powers Boothe (VF : Philippe Catoire) : l'ex-président Noah Daniels
Peter MacNicol (VF : Denis Boileau) : Tom Lennox
Eric Lively : Roger Taylor, le fils du couple présidentiel

Au Sangala :

Kiefer Sutherland (VF : Patrick Béthune) : Jack Bauer qui a fui la civilisation occidentale
Robert Carlyle (VF : Éric Herson-Macarel) : Carl Benton, un vieil ami de Jack Bauer avec qui il dirige une école pour les enfants victimes de la guerre
Siyabulela Ramba : Willie, un petit garçon qui apprécie beaucoup Bauer et voit en lui une sorte de modèle
Gil Bellows : Frank Tramell, chargé d'informer Bauer qu'il est cité à comparaitre devant les tribunaux américains
Tony Todd : Général Benjamin Juma, un dictateur Africain
Hakeem Kae-Kazim (VF : Jean-Michel Martial) : colonel Ike Dubaku, un chef rebelle

   

A la fin de la saison 6, encore une fois éprouvante pour Jack, on sentait bien son envie de tout arrêter et notamment de s’éloigner d’Audrey pour ne plus la mettre en danger. Il a fui le monde occidental, culpabilisant pour les fautes qu'il a commis, pour les personnes qu'il a tué aux États-Unis. Il se retrouve en Afrique (après avoir beaucoup voyagé) dans une école américaine pour enfants défavorisés. Sauf que le pays n’est pas stable, qu’une rébellion armée se prépare et que des enfants sont enlevés pour devenir des soldats. En outre, Jack est sous le coup d’une citation à comparaître pour répondre de ses actes au sein de la CTU et n’a évidemment aucune intention de revenir aux États-Unis.

Synopsis :

Ce téléfilm se déroule le jour de l'investiture présidentielle d'Allison Taylor, la prochaine présidente des États-Unis. Noah Daniels lui transmet les rênes de la présidence américaine alors qu'au même moment, au Sangala (province fictive d'Afrique du Sud-Ouest), un coup d'État militaire éclate, et des miliciens embrigadent de force des enfants dans des camps où on les enrôle pour qu'ils deviennent des soldats.

Jack Bauer s'était réfugié là-bas depuis les évènements dramatiques de la saison 6.. Il aide un vieil ami, Carl Benton, dans la construction d'une école pour des enfants défavorisés dans cette région. Mais face à ces agresseurs obéissant aux ordres du dictateur Juma, il n'a d'autre choix que de secourir ces enfants et de les amener à l'ambassade la plus proche où ils seront en sécurité. Jack va affronter les rebelles armés pour réussir à conduire les enfants à l’ambassade américaine. Sauf que pour leur accorder le droit d’asile aux USA il leur faut le parrainage d’un citoyen américain, et évidemment, Jack va être « obligé » de faire le parrain et de rentrer avec eux.

L’histoire nous montre l’implication de puissantes personnes dans le financement de la rébellion en Afrique. Des personnes proches de la nouvelle Présidente des États-Unis (24 installe une femme à la Maison Blanche) qui ne cherchent qu’à assouvir leurs intérêts, ont fourni des armes aux rebelles pour renverser le pays.

 

 

 

Rocco Deluca and The Burden - Save yourself

2008 (24 Redemption promo) - Réalisé par Kiefer Sutherland

 

Interviews

 

Jay Leno 2008

Kiefer : merci Dieu vous bénisse

JL : ça va ?

K : bien, je suis content d’être à nouveau au boulot, on a attendu 1 an et demi, nos fans ont été très patients, et on est très excités à l’idée de continuer

JL : vous m’avez racontez une histoire embarrassante..

K : j’ai une vie géniale la plupart du temps, la célébrité m’a permis de rencontrer des gens fascinants, mais quelque fois, la célébrité c’est embarrassant.

Dans mon quartier, à l’est de LA, j’ai l’habitude de faire mes courses en vélo, je prends des fruits, des journaux, ce jour là, j’avais mon script dans le panier de ma bicyclette. Comme il y avait beaucoup de monde, j’ai ralenti, j’ai heurté un nid de poule, et je suis tombé. Toutes mes affaires ce sont éparpillées, et ça a causé un embouteillage. J’étais embarrassé, je ramassais tout quand un type est passé à côté et m’a dit «  Jack Bauer ne sait pas faire du vélo » Je suis devenu tout rouge, j’ai baissé la tête et j’ai essayé de me cacher derrière le feu , mais le type m’a dit « je vous vois encore ! » je me suis mis à rire, c’est une des rares fois où j’aurais aimé ne pas être JB

JL : vous m’avez parlé de votre mère, qui est nerveuse quand elle regarde 24

K : oui, ça l’a rend anxieuse, ce qui est exactement notre but ! Mais elle me dit « je n’aime pas ça » Elle regarde 10 mn de chaque épisode, pas plus, puis elle éteint et me demande de lui raconter la suite. Le jour où elle regardera un épisode en entier, c’est qu’on aura un problème !

Jl : ..et vous il y a des trucs qui vous font peur ?

K : oui, quand j’étais petit, un film m’a vraiment fait peur, je n’ai pas dormi pendant une semaine, c’est bête mais c’est Chitty Chitty Bang Bang

JL : ça vous fait peur ça ???

K : oui, le type qui enlève les enfants dans la rue, les met dans une cage et un donjon

Jl : la nuit du chasseur, ça, ça fait vraiment peur pas Chitty….

K : il y a pire !j’ai emmené ma fille voir Némo, et au moment où on voit le requin, j’ai renversé mon coca et mes pop corn, ma fille de 7 ans  m’a dit « oh papa ». J’aime faire ce genre de films, mais je n’arrive pas à les regarder.

 

JL : revenons à 24, moi je regarde d’un coup l’ensemble de la saison

K : beaucoup de gens font ça. Un couple m’a accusé d’avoir caché sa lune de miel alors que je n’étais même pas là : Ils partaient à Paris et ils ont regardé 12 épisodes dans l’avion à l’aller, en comptant regarder les 12 autres au retour. Mais en fait ils les ont regardés en arrivant à leur hôtel, j’ai dit « mon vieux, c’est ta faute »

Jl : Rédemption, c’est un film de 2 heures

K : oui, à cause de l’interruption, on voulait faire une sorte de liaison entre les saisons 6 et 7, voir ce qui arrive à Jack pendant ce temps. Cette idée devait être utilisée pour le début de la saison 7, mais les auteurs n’ont pas trouvé comment faire revenir Jack d’Afrique en temps réel. Mais c’est parfait pour un film. On voit son état d’esprit : il est déçu par ce qu’il a fait et ce que le gouvernement lui a demandé de faire.

Il travaille avec un ami qui s’occupe d’enfants victimes des guerres en Afrique. Ce qui est triste c’est que tout cela est vrai, donc les auteurs ont fait du bon travail en informant les gens, mais à la façon de 24, on en est très fier

JL : vous êtes allé en safari ?

K : un jour avec notre équipe sud africaine. On a photographié des animaux. Notre réalisateur prenait une photo d’un lion avec un gros zoom, quand le lion s’est mis à charger. A cause de son zoom, Jon Cassar a pensé que le lion était plus près qu’en réalité, donc il a reculé brusquement, il est tombé et s’est fait un œil au beurre noir ave son propre appareil photo.

JL : des amis sont venus vous voir ?

K : on n’est resté que 3 semaines, et puis, mes amis ce sont les gens avec qui je fais 24. Mais j’ai des amis qui sont allés en Afrique 10 jours. Et ce qui est drôle c’est que dans leur lodge, il n’y avait qu’un seul DVD : 24 ! ils partent au bout du monde et se retrouvent à regarder 24..

Dans le DVD de Rédemption, il y a pas mal de bonus et surtout le making of est meilleur parce qu’on était vraiment content de faire ce film.

 

Kiefer Sutherland on "Late Night with Conan O'Brien" - 11/21/08

 

"Kiefer dit qu'il voulait désespérément Robert Carlyle, la star de The Full Monty pour jouer le rôle".

"Je l'ai appelé et lui ai dit : "Je te donnerai ce que tu voudras. Je laverai ta voiture pendant un an. Je garderai les enfants" dit l'acteur . Robert a répondu : "En fait, je le ferai si tu ne gardes pas mes enfants"  

Le film a été tourné en différents endroits. Quel genre d’expérience était-ce ? 

C’était comme une grande excursion – nous sommes tous allés en Afrique du Sud et à Washington, et c’était tout simplement incroyable. Et les gens que nous avons rencontrés en Afrique, en particulier les acteurs, qui ont été incroyables reflétaient l’image que nous avions de l’Afrique … de sorte que ça été vraiment passionnant. C’était un de ces projets où tout fonctionne parfaitement bien , et sans doute je dirais que c’est l’une, sinon la meilleure  chose que nous ayons fait sur «24» à ce jour.

Est-ce que le tournage du film était différent du tournage de la série?

C’était incroyablement différent, car il a une fin. C’est la seule chose que nous ayons faite qui a vraiment un e conclusion. Ainsi, du point de vue des auteurs , c’était libérateur . … au lieu d’avoir à écrire dans un vide  permanent sans fin, ce que toute émission de télévision peut devenir vraiment, si elle est mise en série.

Pourquoi est-ce que le film a changé de nom et est passé de «Exile» à la «rédemption»?

Je ne sais pas. c’est intéressant. Le début du film traite vraiment de l’exil de  Jack Bauer , et la fin du film est vraiment sur sa propre rédemption, et je pense que nous avions appelé cela « Exile » dans la précipitation. Et dans la façon dont il se connecte avec la saison 7, «Rédemption»  était un bien meilleur titre. television.aol.com

 Après avoir sauvé les États-Unis pendant six saisons, l’agent Jack Bauer, dans 24 Redemption, téléfilm prologue de  la saison 7, vole au secours de l’Afrique…

Jack décide de donner un nouveau sens à son existence, de vivre enfin pour lui. Il va en Afrique retrouver un ami des Forces spéciales, Carl Benton (Robert Carlyle, ndlr), et aider des enfants dans leur école. Il donne un but à sa vie. Sans cette initiative, il serait un type parmi d’autres qui ne nous intéresserait pas.

Pourquoi avoir situé le récit à Sangala, pays imaginaire ?

Le nom du pays importe peu. Nous voulions parler des enfants soldats. Si nous avions précisé qu’il s’agissait de l’Ouganda ou du Rwanda, il aurait fallu être fidèle aux faits. Nous nous sommes inspirés de la réalité africaine, du génocide rwandais et de l’attitude à l’époque du gouvernement américain, mais c’est de la fiction, pas un documentaire.

Jack est confronté à des gamins tueurs. Auriez-vous accepté qu’il supprime des enfants ?

Jamais ! Dans la série, chaque scène de torture n’est utilisée que dans le but d’amplifier la dimension dramatique du récit. Dans la plupart des cas, je suis en désaccord avec les faits et gestes de Jack. Mes idéaux politiques sont radicalement différents des siens. Jack sert son pays sans états d’âme, il est par définition apolitique.

Mais le choix des scénaristes de 24 heures de mettre en scène un Afro-Américain à la présidence des États-Unis a bel et bien anticipé l’élection de Barack Obama…

Vous n’insinuez pas sérieusement que nous sommes pour quelque chose dans le résultat des élections ! Les Afro-américains représentent une grande partie de la population américaine, il était temps qu’ils soient représentés politiquement par un Président. La seule chose que nous faisons dans 24 heures est de nous projeter. Dans la saison 7, nous mettons une femme à la Maison-Blanche. De là à conclure que ça va se produire… 

Dans la saison 7, un commando prend d’assaut le Bureau ovale. Mais la rumeur dit que la production aurait supprimé cette séquence au montage pour éviter de donner des idées à des terroristes ?

Depuis l’avion utilisé par des terroristes dans l’épisode 1 de la première saison, nous n’avons jamais rien retiré… 

Prendrez-vous en compte les changements politiques en cours ?

Non, nous ne l’avons jamais fait. La saison 1 avait été écrite un an avant le 11-Septembre. J’aimerais renouer avec l’époque où notre série n’était qu’une fiction et non le miroir de notre société. 

La grève des auteurs a-t-elle été pesante ?

Le moment où nous avons cessé de tourner a été effrayant. Si nous avions dû suivre le planning prévu, nous étions cuits. Mais la Fox a décalé la diffusion de plusieurs mois, ce qui nous a laissé du temps pour peaufiner la saison 7. Sans doute la meilleure de toutes. Uriell Ceillier

 

Jack Bauer en 2:00 chrono

Après 18 mois d’absence à cause de la grève des scénaristes, Jack Bauer revient sur la chaîne Fox dans un téléfilm de deux heures. Rencontre exceptionnelle avec son interprète, Kiefer Sutherland, à New York.

Après avoir sauvé les États-Unis pendant six saisons, l’agent Jack Bauer, dans 24 Redemption, téléfilm prologue de la saison 7, vole au secours de l’Afrique…

Jack décide de donner un nouveau sens à son existence, de vivre enfin pour lui. Il va en Afrique retrouver un ami des Forces spéciales, Carl Benton (Robert Carlyle, ndlr), et aider des enfants dans leur école. Il donne un but à sa vie. Sans cette initiative, il serait un type parmi d’autres qui ne nous intéresserait pas.

Pourquoi avoir situé le récit à Sangala, pays imaginaire ?

Le nom du pays importe peu. Nous voulions parler des enfants soldats. Si nous avions précisé qu’il s’agissait de l’Ouganda ou du Rwanda, il aurait fallu être fidèle aux faits. Nous nous sommes inspirés de la réalité africaine, du génocide rwandais et de l’attitude à l’époque du gouvernement américain, mais c’est de la fiction, pas un documentaire.

Jack est confronté à des gamins tueurs. Auriez-vous accepté qu’il supprime des enfants ?

Jamais ! Dans la série, chaque scène de torture n’est utilisée que dans le but d’amplifier la dimension dramatique du récit. Dans la plupart des cas, je suis en désaccord avec les faits et gestes de Jack. Mes idéaux politiques sont radicalement différents des siens. Jack sert son pays sans états d’âme, il est par définition apolitique.

Mais le choix des scénaristes de 24 heures de mettre en scène un Afro-Américain à la présidence des États-Unis a bel et bien anticipé l’élection de Barack Obama…

Vous n’insinuez pas sérieusement que nous sommes pour quelque chose dans le résultat des élections ! Les Afro-américains représentent une grande partie de la population américaine, il était temps qu’ils soient représentés politiquement par un Président. La seule chose que nous faisons dans 24 heures est de nous projeter. Dans la saison 7, nous mettons une femme à la Maison-Blanche. De là à conclure que ça va se produire…

Dans la saison 7, un commando prend d’assaut le Bureau ovale. Mais la rumeur dit que la production aurait supprimé cette séquence au montage pour éviter de donner des idées à des terroristes ?

Depuis l’avion utilisé par des terroristes dans l’épisode 1 de la première saison, nous n’avons jamais rien retiré…

Prendrez-vous en compte les changements politiques en cours ?

Non, nous ne l’avons jamais fait. La saison 1 avait été écrite un an avant le 11-Septembre. J’aimerais renouer avec l’époque où notre série n’était qu’une fiction et non le miroir de notre société.

La grève des auteurs a-t-elle été pesante ?

Le moment où nous avons cessé de tourner a été effrayant. Si nous avions dû suivre le planning prévu, nous étions cuits. Mais la Fox a décalé la diffusion de plusieurs mois, ce qui nous a laissé du temps pour peaufiner la saison 7. Sans doute la meilleure de toutes. series-tv.premiere.fr

 

 

"24: Redemption - Captured In Africa" 

A partir du 10 novembre 2008 et durant 3 mois a eu lieu une exposition de photo prises en Afrique lors du tournage de 24 : Redemption. L’exposition est constituée de près de 50 photos édités par Digital Fusion.

 

Photos by: Jon Cassar, Rodney Charters, Michael Klick, Kelsey McNeal, Kiefer Sutherland

Photo by Kiefer Sutherland :  

    L'acteur Robert Carlyle répète sa première grande scène avec Kiefer Sutherland au cours d'une pause malgré le climat rigoureux de l'Afrique du Sud. Cette photographie ainsi que près de quatre douzaines d'autres photos font partie de l'exposition.

  

 

 

 

  "24: Redemption - Captured In Africa" The Paley Center - 10 Novembre 2008 (Californie) 

Album (26 photos) :

Rodney Charters, Howard Gordon, Michael Klick, Kiefer Sutherland, Jon Cassar and Kelsey McNeal - "24: Redemption - Captured in Africa" - Arrivals - The Paley Center for Media - Beverly Hills, CA

 

24 Redemption Premiere, New York, 19 novembre 2008

Album (29 photos) :

Premiere of “24: Redemption” at the AMC Theatres Empire 25 on November 19, 2008 in New York City

  

Kiefer : ils vont voir certaines choses familières, c’est toujours en temps réel, il y a de l’action, mais ce qui change de saisons en saisons ce sont les buts de Jack Bauer.

24 Redemption nous présente les futurs stars de la saison 7 : Jon Voight qui joue l’ennemi de Jack, Robert Carlyle qui est son ami. Voight est un fan de 24, il n’a plus joué dans une série depuis 40 ans, mais il a saisi l’occasion de jouer face à Jack Bauer, qu’il considère meilleur que James Bond.

Voight : Jack Bauer est génial, on dit agir comme JB, c’est un nouveau mot dans notre vocabulaire, il y a plusieurs raisons à cela mais c’est l’interprétation de Kiefer qui en fait un personnage iconique.

Mais 24 a aussi déclenché la polémique a propos de la représention de terroristes musulmans, des groupes religieux ont protesté.

Kiefer : on décrit une situation particulière, mais nous ne pensons absolument pas que c’est comme ça que les musulmans agissent aux Etats-Unis. Cependant on ne peut pas nier que dans chaque communauté, certaines personnes agissent mal. Nous avons diffusé une annonce pour expliquer cela car je suis très sensible sur ce sujet. (traduction 24heureschronohommage)

 

24 Redemption” press conference at the Four Seasons Hotel on September 29, 2008 in Beverly Hills -

Album (23 photos) :

 

 Behind the scene :

24 Redemption - Africa - It was a great experience being on location in Cape Town South Africa shooting the 24 TV Movie. Almost every night after shooting we got together for dinner at a big table the hotel had reserved for us. We talked about the days work, and what the next day held and we told film stories, most of them ending with a group laugh. Amongst the 24 crew of usual suspects are Kiefer on the left and Bobby Carlyle (Trainspotting, Once Upon a Time) on the right and in the foreground is one of the best first assistant directors in the business Nick Heckstall-Smith. From the Directors Chair, Day to day musings and photographs from television director/producer Jon Cassar

  

      

  

 

 

     

   

   

Behind the scene :

 

 

Avis :

Après 18 mois d’absence, et avant le retour de la nouvelle saison, Jack Bauer revient le temps d’un téléfilm de 90 minutes. Nous retrouvons donc Jack en Afrique. Derrière ce titre se cache, en théorie, la rédemption de notre héros...Jack se montre sous un jour nouveau.

L'histoire est basique avec tous les ingrédients qui font que 24 existe. On est pas sur 24 heures mais sur 2 heures et c'est trop court pour installer la situation et ensuite l'exploiter. De plus l'histoire est entrecoupé de scènes se passant à Washington pendant l'investiture de la nouvelle présidente.

La volonté de dénoncer une réalité reconnue, les enfants soldats est quelque peu caricatural, que peut faire Jack face à cela ? Eh bien, il décide de sauver coute que coute une poignée d'enfant quitte à se sacrifier lui-même. On retrouve là notre Jack!

Traqué, Jack trouve donc refuge en Afrique chez son vieux camarade Carl Benton. Après des années de lutte, les deux amis aspirent à une vie posée.

On est heureux de retrouver Jack après une si longue absence et on le retrouve en guerrier usé et en quête de "redemption". Mais le ton finit pas monter et il ne faut pas le provoquer Jack...la scène où il arrête le bras de l'envoyé de l'ambassade, Frank Tramell, est géniale. Et lorsque Jack est fait prisonnier et que le méchant le menace, on ne peut que sourire… Non mais...il sait à qui il parle, c'est Jack Bauer! On retrouve notre héros en pleine forme et qui va contrer à lui seule une petite armée.

Comme d’habitude le chrono est présent, et en moins de deux heures Jack à eu le temps de tuer presque tout le monde, de sauver les enfants et de se faire rapatrier contre son gré aux États-Unis pour enfin commencer la saison 7.

Cet épisode fait donc office de transition entre les saisons 6 et 7, mais à également vocation à faire patienter les fans, ou du moins réveiller leur appétit pour la reprise de la série quelques mois plus tard. Objectif atteint, en utilisant tous les ingrédients qui ont fait le succès de la série : le suspens, l'action et le plaisir de retrouver Jack ; on en redemande.

Ce téléfilm doit donc être perçu comme un préquel à la saison 7 et là l'histoire prend tout son sens.

 

"Kiefer Sutherland est excellent dans son rôle. Certains fans pourraient être un peu déçus que Jack n'apparaisse pas plus souvent dans la première moitié de Redemption, mais quand l'action démarre et que Jack fait ce qu'il sait faire de mieux, c'est sensations garanties. Encore plus important, Sutherland nous cloue sur place avec des scènes très émouvantes vécues par Jack, incluant une scène merveilleuse où il refoule clairement ses larmes, à un moment où il n'a simplement pas le temps de craquer." (tv.ign.com)

 

 

Redemption

15h00 : Dans une voiture, un diplomate dénommé Frank Trammel, est conduit dans un village quelque part dans Sangala. Dans ses mains, il serre une enveloppe contenant une citation à comparaître émise par le gouvernement américain.

15h01 : Dans une école, deux frères, Willy et Desmond, se disputent. Le plus grand, Desmond, veut que son frère l'accompagne en ville pour une partie de football. Mais Willy sait qu'ils n'ont pas le droit de s'y rendre sans Mr. Benton. Desmond part finalement avec un autre garçon, tandis qu'un camion chargé de vivres arrive à l'école.

15h02 : Tandis que tous les autres enfants de l'école courent à la rencontre du camion, Willy se retire dans une pièce et fouille dans les affaires personnelles de quelqu'un. Il vole un couteau et tandis qu'il admire un châle, il aperçoit dans l'embrasure de la porte Jack Bauer. Willy s'excuse d'avoir fouillé et pose toute une série de questions à Jack. Ce dernier a parcouru le monde ces dernières années et notamment l'Inde d'où il a ramené le châle pour l'offrir un jour à sa fille. Il l'offre finalement à Willy car il ne rentrera pas chez lui.

15h06 : Frank Trammel arrive chez Jack avec Carl Benton, le responsable de l'école. Trammel essaie de remettre à Jack une citation à comparaître émise par un sous-comité du Sénat chargé d'enquêter sur les détentions illégales et les tortures de prisonniers commises par Jack. Ce dernier lui répond avant de partir que les personnes qui requièrent sa présence n'ont qu'à venir le chercher.

Trammel demande à Benton de convaincre Jack de se soumettre à cette citation car toute cette histoire traîne depuis plus d'un an, Jack ayant traversé trois continents. S'il ne le fait pas, il risque de perdre ses subventions pour son école.

15h10 : Dubaku prépare son armée de rebelles mais il manque de soldats. Il revoit avec un de ses hommes les plans d'une attaque proche. Il reçoit alors un appel d'un certain Hodges qui lui propose ses soldats postés en attente à la frontière de Sangala. Dubaku le remercie mais il s'agit de sa guerre et de son pays. Il n'avait besoin que d'armes, ce qu'Hodges lui a fournit en masse.

Hodges raccroche. Il se trouve dans le bureau d'un businessman, Nichols, à qui il demande d'effacer toutes les traces d'un quelconque lien entre lui et Dubaku. Nichols convoque son assistant Chris dans son bureau et lui demande d'écraser des dossiers.

15h15 : Carl essaie de discuter avec Jack de la citation. Mais Jack refuse de s'y rendre. Il a déjà perdu énormément pour son pays et refuse de leur donner la seule chose qu'il lui reste : sa liberté. Il quittera l'école dès la nuit tombée pour ne pas lui attirer d'ennuis. Mais Carl, qui n'avait pas vu Jack depuis les Forces Spéciales il y a plus de 10 ans, ne veut pas qu'il parte. Il veut qu'il se confie car fuir n'est certainement pas le meilleur choix de vie. Jack est content que son ami ait trouvé sa rédemption et sa reconversion et fasse du bien à ces enfants. Lui n'en est pas encore là et doit partir pour ne pas lui attirer d'ennuis. Il le remercie pour tout.

15h17 : A bord du camion de vivres, un jeune homme, Thomas, se dispute avec un membre bizarre des Nations Unies dénommé Solenz. Thomas affirme que le Général Juma se monte une armée en enlevant les petits garçons partout en ville. Tandis que Carl arrive, Willy s'inquiète car son frère est justement parti en ville jouer au football. Carl décide d'aller vérifier par sécurité que Desmond va bien.

15h19 : Un groupe d'enfants dont Desmond joue au football mais est pris en embuscade par une troupe de Dubaku. Leur leader informe les garçons qu'ils sont maintenant des soldats. Tandis que l'un des enfants se fait pipi dessus, Desmond et son copain profitent de la diversion pour s'enfuir. Mais ils sont pris en chasse. Un des hommes leur tirent dans le dos et les laissent pour morts.

15h26 : A Washington, dans une chambre, une femme s'habille. A la télévision, les informations relatent l'importance de la journée : le Président Daniels transmettra d'ici 2 heures ses pouvoirs à la nouvelle Présidente des Etats-Unis, Allison Taylor. Roger, le petit ami de la jeune femme répond au téléphone. Il s'agit de Chris, l'assistant de Nichols. Il veut le voir immédiatement car il a des problèmes. Roger accepte et raccroche. Il explique à sa petite amie Samantha qu'il doit avoir fait une rechute et qu'il doit l'aider. La jeune femme accepte mais lui rappelle qu'il ne doit pas oublier la prise de pouvoirs de sa mère dans moins de deux heures.

15h28 : A la Maison Blanche, la future Présidente attend avec son mari d'être reçue par Daniels. Mais Lennox lui apprend qu'il est en téléconférence avec le Premier Ministre Matobo car un coup d'état imminent est annoncé à Sangala.

15h30 : Le Premier Ministre Matobo informe Daniels que les troupes de Juma avancent jusqu'à la capitale. Il demande aux Etats-Unis un soutien militaire. Mais Daniels pense que la priorité n'est pas là. Il lui propose un abri pour lui et sa famille et ordonne l'évacuation des civils américains. Cependant, il parlera de sa requête à la future Présidente.

Daniels reçoit Taylor dans le Bureau Ovale. Ils se demandent tous deux qui a pu approvisionner en armes Juma. L'ordre donné par Daniels d'évacuer choque profondément la Présidente qui ne comprend pas ses motivations. Daniels se fiche des vies à sauver ou du possible génocide car il n'y a rien à protéger à Sangala : ni ressources naturelles, ni placements économiques....

15h33 : Carl arrive au terrain de football et découvre le corps d'un des garçons. Le deuxième, Desmond, est toujours en vie mais pas en grande forme. Carl le charge dans sa jeep.

Pendant ce temps, à l'école, Jack fait ses adieux à son ami Willy et lui explique qu'il ne peut pas venir avec lui car il ne sait pas encore où il va. Le petit garçon est attristé et embrasse Jack, lui-même bouleversé.

15h37 : Thomas rattrape Jack sur le chemin et lui passe l'appel de Carl. Ce dernier lui explique ce qui est arrivé au terrain de football. Juma se montant une armée, une de ses troupes fait route vers l'école et Carl demande donc à Jack de ne pas les laisser prendre ses enfants. Il n'aura aucun renfort jusqu'à son arrivée, les lignes de l'Ambassade étant toutes occupées.  

Jack prend la direction des opérations et demande à Willy de rassembler tout le monde en sonnant la cloche. Tandis que Thomas les dirige tous vers l'abri, Jack part s'approvisionner en armes (assez sommaires) dans la chambre de son ami.

15h40 : Tout le monde est à l'abri lorsque les hommes de Juma arrivent. Jack commence par dynamiter leur Jeep. Il abat 3 des hommes et parvient à éviter de justesse un missile. Tandis que leur chef cherche les enfants, Jack continue de se débarrasser des rebelles. Mais il se fait finalement assommer au cours d'une lutte à mains nues avec 3 d'entre eux.

15h43 : Carl arrive à l'école mais se gare à bonne distance. Il voit Jack se faire attacher et interroger par le chef des rebelles pour savoir où sont les enfants. Il attrape son fusil et continue à pieds à la recherche d'une tactique d'approche.

15h49 : A l'Ambassade Américaine de Sangala, l'évacuation a commencé. Franck Trammel vérifie à l'entrée les papiers de chaque civil. Il reçoit alors l'appel de Carl. Mais il ne peut rien pour lui car il doit gérer l'évacuation des civils américains. Il devra emmener lui-même les enfants jusqu'à l'Ambassade d'ici une heure.

Jack continue d'être interrogé sauvagement. Comme il ne parle pas, le chef des rebelles hausse le niveau et lui brûle le visage avec un fer chaud. En vain. Mais Jack remarque le reflet d'un rétroviseur au loin et comprend que Carl est prêt à intervenir. Il se met alors à jouer les victimes en pleurant et suppliant. Il lui donne la localisation des enfants. Le chef y envoie ses troupes, qui tombent en fait dans l'embuscade tendue par Carl. Jack, resté seul avec le chef, profite de la diversion qu'offrent les coups de feu pour lui briser la nuque avec la force de ses cuisses. Carl libère Jack et lui explique qu'il doit diriger les enfants vers l'Ambassade où ils obtiendront l'asile politique grâce à son parrainage. Il souhaite bonne chance à son ami et part retrouver les enfants.

15h55 : Carl charge les enfants à bord du bus, tandis que Willy retrouve enfin son grand frère Desmond en mauvais état. Solenz, le membre des Nations Unis rattaché à l'école décide de faire cavalier seul pour avoir une chance de survivre. Jack propose alors son aide à Carl pour conduire les enfants jusqu'à l'Ambassade.

16h00 : Chris arrive chez Roger Taylor et est fouillé par l'agent Vossler. Chris explique à son ami qu'il rend service à Nichols en cachant certaines choses depuis quelques temps car ce dernier a épongé ses dettes. Mais alors qu'il croyait l'aider à détourner de l'argent, il s'est rendu compte il y a 3 jours que l'un des comptes concernés appartenait à la liste de surveillance (des terroristes). Il ne peut plus gérer toute cette histoire seul et est prêt à fournir des preuves de ce qu'il avance à la mère de Roger. Mais ce dernier veut les voir avant d'impliquer la future Présidente. Chris accepte de lui envoyer par mail d'ici une heure les fichiers restés sur son disque dur personnel.

16h04 : Le Général Juma arrive au camp du Colonel Dubaku et le félicite de tout le travail accompli. Dubaku l'informe que les bombardiers sont en place et qu'il ne manque plus que son ordre pour commencer. Mais ils sont interrompus par l'appel d'une patrouille qui informe Dubaku que son frère vient d'être abattu à l'école américaine selon un membre des Nations Unions présent. Il s'agit de Solenz qui leur offre de les aider à retrouver le bus de l'école.

16h06 : Dans le bus, Jack dit à Carl qu'il est désolé pour l'école et tout ce qu'elle représentait pour lui. Carl est vraiment désabusé mais leur conversation est interrompue par le talkie volé aux rebelles. Ils apprennent que Dubaku est à leurs trousses. Ils ont juste le temps de quitter la route avant qu'une patrouille rebelle ne passe devant eux. Ils décident de rejoindre l'Ambassade à pieds en suivant la rivière.

16h12 : Toujours dans le Bureau Ovale, Daniels transmet à Taylor le livre décisionnaire contenant entre autres les codes de l'arsenal nucléaire. Daniels se serre un verre, visiblement amer de céder son titre mais également blasé par tout ce que la fonction présidentielle représente. Taylor quitte la pièce et rejoint son mari. Elle lui avoue avoir des doutes quant aux motivations de Daniels au sujet de Sangala. Henry lui propose de joindre Ethan (futur Vice-président et ex-ministre de l'Armée sous l'administration de Wayne Palmer) pour savoir si Daniels lui cache vraiment quelque chose.

16h16 : La patrouille de rebelles découvre le bus et en informe Dubaku. Ce dernier est animé par la vengeance et décide de quitter le camp, malgré les demandes de Juma, pour retrouver l'assassin de son frère.

16h22 : Chris est de retour à son appartement et prépare les preuves à envoyer à Roger. Mais alors qu'il réfléchit à prendre une pilule, un bruit dans la chambre l'interpelle. Il part voir. Rien. De retour vers son ordinateur, un homme est assis au bureau et commence à effacer des dossiers. Un autre homme arrive derrière lui et le frappe à la tête avant de l'attacher pour l'interroger.

16h26 : Dans la limousine, Samantha et Roger continuent à se disputer au sujet de Chris tandis qu'ils arrivent à la Maison Blanche pour l'Inauguration. Vossler, l'agent responsable de la sécurité du fils de la future Présidente, reçoit un appel d'un des hommes présents chez Chris qui l'informe de l'avancée de son interrogatoire.

16h31 : Arrivés à la rivière, Carl explique à Jack comment rejoindre la frontière et le remercie encore une fois pour son aide. Tandis qu'il s'éloigne du groupe, le bruit d'un hélicoptère attire son attention. Il rejoint le group et l'aide à se mettre à l'abri dans la forêt. Dubaku est à bord de l'hélicoptère. Ne les voyant plus, il décide de se poser.

16h35 : Le groupe continue de se frayer un chemin à travers les bois. Mais Willy fait marche arrière en voyant qu'il a perdu le châle que lui a offert Jack plus tôt. Carl, qui lui crie de revenir, remarque qu'il s'approche dangereusement d'une mine. Il se précipite pour l'en éloigner et marche finalement lui-même dessus. Il sait que s'il bouge, la mine explosera et appelle donc Jack. Ce dernier tente par tous les moyens de la désamorcer, refusant de perdre encore un autre être cher à ses yeux. Mais Carl, réaliste, insiste pour qu'il le laisse, la priorité étant les enfants. Il lui donne les papiers de parrainage à remettre à Trammel et lui propose de lui laisser gagner du temps avec Dubaku.

16h38 : Carl entend les hommes de Dubaku approcher. Alors qu'il est interrogé, il met tout en œuvre pour qu'ils se rapprochent le plus possible de lui. Son but atteint, il se sacrifie en laissant la mine explosée. A quelques mètres de là, Jack entend la déflagration et semble anéanti par cette nouvelle perte.

16h46 : Jack et les garçons entrent dans la ville et se mélangent à la population. Thomas apprend aux enfants que Mr Benton est mort. Willy est bouleversé et part en courant dans l'autre sens. Jack le rattrape et lui explique que Carl a tenu sa promesse de les protéger, malgré les apparences. Il s'est sacrifié pour qu'ils arrivent à l'Ambassade et aspirent à une vie meilleure aux Etats-Unis. Il le console et  ils reprennent leur route.

16h48 : Jack met les garçons à l'abri derrière une voiture car il a repéré un hostile dans la foule. Effectivement, une fusillade s'en suit à travers la ville. Il abat ses assaillants mais se retrouve nez à nez avec un enfant soldat qui le prend pour un de ces « cafards » que Dubaku lui demande de tuer. A l'aide de propos rassurants, Jack lui fait baisser son arme et reprend sa route avec les garçons vers l'Ambassade.

16h50 : Sur le perron de la Maison Blanche, Roger vérifie ces mails mais toujours aucune nouvelle de Chris. Un peu plus loin, Ethan accueille la limousine d'Allison et Henry Taylor. Il annonce à la future Présidente qu'un briefing sur Sangala aura lieu dès la fin de l'Inauguration.

Face à Roger, Jonas Hodges et l'agent Vossler discutent. Chris a dit tout ce qu'il savait et n'est plus une menace. Mais Hodges se demande ce que le fils de la future Présidente sait et s'il ne va pas devenir un problème qu'il faudrait résoudre. Il demande à Vossler de garder un œil sur lui.

16h53 : Jack arrive à l'Ambassade, saturée de personnes en quête d'asile. Il se fraie un chemin jusqu'à la grille et demande à parler à Trammel. Ce dernier arrive et donne à Jack un choix à faire. Sans Benton, il doit se rendre pour se soumettre à la citation et ainsi sponsoriser les enfants de Carl ou rester ici et les garder avec lui à Sangala. Coléreux, Jack sait qu'il n'a pas le choix. Il se laisse arrêter tandis que les enfants sont accueillis à l'Ambassade.

16h57 : La désormais nouvelle Présidente des Etats-Unis prête serment et prononce son discours d'Inauguration qui se veut plein d'espoir.

Dans le même temps, les hommes d'Hodges font couler le cadavre de Chris dans du béton.

Jack et les enfants sont chargés à bord du dernier hélicoptère d'évacuation. Willy et Jack, tandis qu'ils s'élèvent, regardent la population locale restée sur place et abandonnée à un funèbre sort....

Il est alors 17 heures.

Ecrit par maluzo83

 

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